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 Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane)

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MessageSujet: Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane)   Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) 740834mini1Dim 23 Oct - 4:18

Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) 0315ben04Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) 0315ben02Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) By27-seconds_glee-013Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) Bdm5w4Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) Icon004mk
Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) Tumblr_lgca1lNVGB1qb32m2o1_500

    Elle ne l’avait pas quitté des yeux durant tout le cours. Pourtant, ce n’avait pas été faute d’essayer. Ces derniers jours, Judy avait été surprise de sa concentration, même lorsqu’il se trouvait dans les parages. Et là, tous ses efforts s’étaient envolés… Pouf, plus rien. Il ne lui avait fallu qu’un seul regard. Alors oui, même si essayer de l’oublier était sûrement la solution, la rouge et or en était tout bonnement incapable. C’était impossible de ne pas chercher sa silhouette dans les couloirs, d’essayer de capter son sourire pendant les repas, de s’empêcher de penser à lui tout simplement. Oui, il lui avait brisé le cœur mais plus que de la tristesse, elle ressentait de la frustration. Pourquoi Diane ? Elle n’en avait rien à faire de Caleb. Enfin, elle ne l’aimait pas autant que Judy. La preuve est, tout le château était au courant de ses écarts avec le beau Elliyöt. Qu’est-ce qu’elle n’aurait pas donné pour qu’ils finissent dans les bras l’un de l’autre ! Mais non, encore une fois, Cavendish semblait déterminée à faire de son existence un enfer de chaque instant. Tout ce qu’elle demandait c’était De Ladres. Oui, juste lui… Si elle l’avait, la jeune Murray serait capable d’oublier cette envie de vengeance. Elle pardonnerait peut-être à Diane, oui, elle pourrait. Pourquoi ne pouvait-il pas simplement se rendre compte qu’ils étaient destinés l’un à l’autre ? Il n’avait qu’à lui demander pardon et l’embrasser comme il l’avait fait une fois…
    La brune se mordit la lèvre, perdue dans ces souvenirs. Elle n’entendit même pas la sonnerie. Ce ne fut que lorsque les élèves se mirent à quitter la salle que Judy sortit de sa torpeur. Trop tard, Caleb était déjà loin avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit. Non, elle ne pouvait pas abandonner, remettre leur confrontation à un autre jour. Il fallait qu’elle lui ouvre les yeux et lui fasse comprendre qu’il devait l’aimer elle, pas Diane. La jeune fille avait beaucoup plus d’influence que la Jaune de toute façon, les rôles étaient inversés maintenant. Oui, vraiment, il n’y avait aucune raison qu’il la repousse. D’un coup de baguette, l’étudiante rangea ses livres dans son sac et quitta la salle en vitesse.

    Si certains s’écartaient en la voyant dévaler les escaliers telle une furie, d’autres ne semblaient pas craindre de perdre une épaule ou un pied dans la bataille. Elle avait beau être petite, lorsque Judy était déterminée, rien ne pouvait l’arrêter. Ses iris brun-vert avaient entraperçu le vert et argent quelques secondes plus tôt alors qu’elle avait passé une dizaine de minutes à interroger ses camarades dans les couloirs. Voyant une chance de le rattraper et d’avoir cette conversation dont elle rêvait depuis des semaines, elle courrait à sa poursuite comme si sa vie en dépendait. Personne ne semblait trouver cela bizarre par ailleurs, ils devaient avoir l’habitude d’assister aux manifestations du comportement singulier de Judy Grace Murray. Surtout depuis qu’elle se prenait pour la reine du château, sa place ayant décuplé un égo déjà conséquent.
    Arrivée en bas des escaliers, elle reprit son souffle alors qu’il n’était plus qu’à quelques mètres d’elle. En quelques enjambées, Judy se plaça rapidement devant lui pour pouvoir lui bloquer le passage. La belle s’accorda quelques instants pour respirer goulument, perdant son regard dans celui de Caleb, implorant ce dernier de ne pas la quitter avant qu’elle n’ait pu dire mot.


    Attends, Caleb, s’il te plait. J’ai des choses à dire, enfin, il faut qu’on discute.

    Lâcha-t-elle, encore à bout de souffle, de façon saccadée. Son sac tomba à terre dans un bruit sourd alors qu’elle se rapprochait un peu plus de lui. Si son attitude laissait transparaitre une quelconque exaspération, Judy n’y vit que du feu. Elle avait assez d’amour pour deux et ses bonnes intentions devaient sûrement être aussi efficaces qu’un puissant filtre d’amour. C’était ce qu’elle aimait penser, naturellement. Car n’importe quelle personne sensée se moquerait de son obsession pour ce garçon qui n’avait que faire d’elle. De plus, tout le monde savait pertinemment que malgré ses conquêtes, Caleb était raide dingue de Diane Cavendish. Après l’humiliation que Judy avait subit en prime, il n’y avait aucune raison qui puisse laisser transparaitre un espoir quelconque. Et pourtant, la voilà qui se tenait devant le Serpentard, prête à essayer de le conquérir, persuadée qu’elle trouverait les mots pour lui faire entendre raison. Elle était Judy Murray après tout, on ne lui refusait rien bien longtemps. Un jour ou l’autre il finirait par se rendre compte à quel point elle valait la peine, à quel point elle était exceptionnelle. Il finirait par l’aimer comme elle l’aimait depuis des années déjà, Judy en était persuadée.

    Tu sais, si tu t‘excuses je suis prête à oublier ce que Diane t’as forcée à faire. Je t’ai déjà pardonné de toute façon… C’est pas de ta faute, on sait tous les deux qu’elle est la reine de la manipulation. Tu as fait ça parce que tu l’aimes, pas vrai ? Mais faut que tu arrêtes de croire que c’est réciproque, on sait tous qu’elle aime Elliyöt et qu’elle t’a choisi uniquement pour ne pas te blesser. Alors que moi…

    La jeune femme ne finit pas sa phrase, préférant terminer sur une note mystérieuse. Entre nous soit dit, c’était complétement ridicule, tout le monde savait qu’elle était complétement obsédée par De Ladres. Elle avait piétiné toute fierté dès les premières phrases, comme d’habitude. Son amour la rendait si aveugle et faible devant le vert et argent. Tellement naïve et pathétique… Judy ne voyait que ce qu’elle voulait voir, n’entendait que ce qu’elle voulait entendre. Et dans les minutes à suivre, elle allait sûrement se faire remettre à sa place, comme à chaque fois. Larmes de tristesse ou de colère, supplications ou menaces ? Allait-elle réussir à garder la face après avoir lâché sa bombe ? À croire qu’elle ne s’était pas posée pour réfléchir deux minutes aux éventuelles conséquences. On dit qu’on apprend de nos erreurs, nous verrons bien ce sera le cas du côté de rouge et or.



Dernière édition par Judy G. Murray le Dim 23 Oct - 22:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane)   Loving you isn't the right thing to do… How can I ever change things that I feel? - (pv Caleb & Diane) 740834mini1Dim 23 Oct - 22:09

    C'était abominable, affreux. La vie à l'intérieur était horrible, pire que dévastatrice. La haine semblait avoir bel et bien pris le dessus sur ce jolie monde, qui l'était auparavant. Plus les jours passaient, les heures s'écoulaient et plus Caleb n'arrivait pas à se remettre de cela. Personne n'arrivait à se remettre totalement de cela. Si quelqu'un disait le contraire, alors ce n'était que de pures mensonges, la vérité était ailleurs. Complètement ailleurs. Pourtant, Caleb savait qu'il allait devoir s'y faire un jour ou l'autre, il n'avait d'autre choix que de s'y résigner. Alors, il ne disait rien. Sa colère explosait quand elle était trop forte, il devenait violent s'il le voulait. Mais, la seule personne qui restait à ses cotes dans ce genre de situations, c'était celle dont il serait prêt à tout. L'impossible, l'imaginable. L'amour peut vraiment des folies. Et sait ce dont était capable le jeune homme. Cela pourrait paraître encenser, mais qu'importe, lui il s'en moquait.

    L'hiver était déjà présente, de la neige tombait à l'extérieur. Tel un élève indiscipliné, Caleb regardait par la fenêtre, cette merveilleuse neige blanche qui tombait en des milliers de flocons. C'était un spectacle assez beau, et certes c'était commun de voir de la neige, qu'importe cela n'enlevait rien à sa beauté. Puis de cette manière, le Serpentard pouvait faire vagabonder ses pensées comme bon lui semblait. C'est-à dire sur diverses choses qui peut-être n'avaient aucun rapport les unes avec les autres. Pourtant, c'était loin d'être un rêveur, mais la neige avait peut-être fait que ce jour il avait décidé de l'être. Le cours où il l'était ne l'intéresser guère, il savait déjà que tout était horrible ici, alors écouter le professeur n'allait rien changé. Comme le fait que le cours était cette fois-ci avec des Gryffondors. C'était assez rare, mais cela pouvait être assez drôle. Quoique dans tous les cas, le jeune homme s'en moquait. Il n'y avait pas la femme qui hantait nuit et jours ses pensées, alors cela ne servait à rien. L'idée de parler à quelqu'un, quelqu'un qu'il pouvait peut-être apprécier, ne lui était même pas venue à l'esprit, tellement il savait que cela ne servait à rien. Alors, il écoutait d'une seule oreille, le cours du professeur. Ça avait beau être passionnant, lui il s'en moquait un peu. Caleb n'était pas une lumière dans les cours, ce n'était pas quelqu'un qui se donnait à fond dans ses cours, alors cela ne pouvait surprendre personne qu'il décide de regarder par la fenêtre au lieu de regarder le cours. Bon nombre d'élèves faisaient la même chose, d'ailleurs. Puis, c'était tellement mieux, ils pourraient l'avouer.

    La sonnerie mit fin à ce spectacle magnifique des flocons de neige, qui laissait ainsi le parc tout blanc, pour la plus grande euphorie de certains. Caleb sortit de la salle de cours, presser de sortir de cette salle qu'il semblait profondément détester. Il ne s'intéressa à personne, n'hésitant pas à bousculer certaines personnes au passage, qui semblait avoir un peu peur de lui, pour des raisons qu'il connaissait bien. Mais, le jeune homme ne s’intéressait pas à ça, tellement cela lui semblait inutile. Il descendit les étages les uns après les autres, jusqu'à arriver au quatrième étage, au détour d'un couloir, il entendit des pas derrières lui. C'étaient des pas pressés qui se dirigeaient vers lui, il les entendait. Avant même qu'il ne se retourne, la personne était devant lui. D'ailleurs, cette personne n'était pas vraiment n'importe qui étant donné que c'était Judy. Il la fixa, comme s'il lui demandait ce qu'elle lui voulait. Même si bien évidemment au plus profond de son être, il savait d'avance ce qu'elle lui voulait, c'était tellement simple à deviner. Caleb la regarda, sans un mot, la laissant parler. Elle lui dit qu'elle voulait qu'ils discutent, elle avait certaines choses à lui dires. Contre toute attente, le Serpentard décida de rester, il avait hâte d'entendre ce que la jeune femme avait à lui dire. Il voyait bien qu'elle se rapprochait de lui, que l'amour qu'elle ressentait pour lui était bel et bien présente, pourtant il était presque indifférent à cela, voir complètement. Il garda son sac sur l'épaule, fixant Judy et attendant que celle-ci veuille bien prendre la parole.
    « Tu sais, si tu t‘excuses je suis prête à oublier ce que Diane t’as forcée à faire. Je t’ai déjà pardonné de toute façon… C’est pas de ta faute, on sait tous les deux qu’elle est la reine de la manipulation. Tu as fait ça parce que tu l’aimes, pas vrai ? Mais faut que tu arrêtes de croire que c’est réciproque, on sait tous qu’elle aime Elliyöt et qu’elle t’a choisi uniquement pour ne pas te blesser. Alors que moi… »

    La fin de la phrase ne se fit pas entendre, laissant les paroles mystérieuses. Caleb mit quelques temps à réaliser ce que Judy venait de dire. Elle était vraiment courageuse de venir pour lui dire cela, alors que peut-être elle savait déjà la réponse. Avant que le moindre son ne sorte de sa bouche, le jeune homme regarda autour de lui pour voir s'il y avait quelqu'un dans les alentours. Fort heureusement, il n'y avait personne. Il poussa un petit soupir avant de reposer son regard sombre sur la Gryffondor qui se tenait toujours devant lui, à quelques centimètres. Il n'avait aucune intention de s'excuser, loin de là . Bien évidemment, Diane ne l'avait pas forcé. Peut-être un peu, mais faire souffrir Judy avait plu dès le début au Serpentard, puis Diane avait sût tellement le convaincre. Cela n'avait pas été bien difficile. Comme s'il chercher ses mots, le jeune homme mit du temps à répondre, même s'il savait pertinemment que ce qu'il allait dire n'allait pas être aussi doux. D'ailleurs, il ne disait jamais des choses agréables, pas dans ce genre de circonstances. « Judy, ne me dis pas que tu crois que je vais m'excuser de ce que je t'ai fait ? Oui, j'aime Diane. Contrairement à ce que tu dis, c'est réciproque. Elle n'aime pas Elliyöt, ce que tu dis est faux. »Il marqua une pause, pour voir la réaction de la jeune femme. Aucune émotion en se vit sur son visage. Au fond de lui, des centaines d'émotions plus forte les unes que les autres se mélangeait, il ne savait pas réellement quoi penser. Certes, entre lui et Diane c'était compliqué, mais n'était-ce pas ça le vrai amour ? Ce genre d'amour dont on ne sait réellement ce qui se passe, où chaque jour les deux personnes ont droit à leurs lots de surprises, à leurs larmes, leurs joies ? Oui, peut-être bien que oui. C'était un peu ce que pensait Caleb, mais il ne le faisait pas paraître, jamais. Son regard fixa intensément la jeune femme, comme-ci cela pouvait la déstabiliser.« Alors que toi ? Toi quoi ? Je sais que tu m'aimes Judy, c'est bien pour ça que j'ai fait cela. Je t'ai fait souffrir, je le sais ; mais, aussi surprenant que ça soit, je ne m'en veux pas. C'est moche ce que j'ai fais, complètement, sauf que c'est ainsi. Je n'y peu rien. Tu ne seras jamais comme Diane, tu n'es pas comme elle. Je ne pourrais jamais t'aimer comme elle, jamais. »Les paroles qu'il acheva semblaient si sincère, qu'une personne présente dans les alentours auraient pu trouver que Caleb était sans cœur. Au fond, il était peut-être ce genre de personne, mais Judy le faisait tellement rire. L'amour grandiose, étouffant, qu'elle ressentait pour lui le faisait rire, tellement cela ne serait jamais réciproque.
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